Qui veut lire ce poème??
Poème : Protégeons la Terre
Nous avons lutté dans les usines
Telle l'abeille qui sans relâche butine
Pour la garantie de sa survie
Et quand de la lutte le feu s'est éteint,
Le corps a réclamé le répit et le pain
Mais trouver une ombre était devenu un défi.
Nos mains ont arraché tous les arbres
Par la machine nous avons rendu la Terre glabre
A la nature notre ingratitude a imprimé son signe
Par les engrais chimiques et le feu nous avons tué les sols
Et pour apaiser nos ventres le vide a rempli nos bols
De la nature nous n'avons pas été des héritiers dignes
La chaleur du soleil a tari nos gosiers
Et nous nous sommes dirigés vers la source aux pommiers
Mais l'eau n'y était plus propre à la consommation
Par nos mains la couche d'ozone a été polluée, usée
Car dans le cosmos l'homme a envoyé les fusées
D'ultraviolets nous avons reçu la sommation.
L'atmosphère n'est plus assez pure
Pour nous garantir une existence sure
Sans réfléchir pour nous couvrir nous avons pris
Du sable marin, nous avons pris de l'eau et du ciment
Et nous avons bâti nos abris inconsciemment et posément
Maintenant de notre inconscience nous devons payer le prix.
L'océan dans sa fureur réclame son dû
Pour l'arrêter la côte appauvrie n'a rien pu
Et voici que les tas d'immondices que nous avons sans réfléchir
Erigés à côté de notre habitat, nous menacent telle une bombe
De nos mains nous avons fossoyé nos propres tombes
Mais pour sauver la nature nous devons travailler sans gémir
Déjà du fond de nos remords infinis
Des okoumés géants broyés par la machine nous avons la nostalgie
Adieu les baobabs sacrés que nous ont légués nos ancêtres
Que sont devenues les biomasses sous l'effet des gaz à effet de serre
Qu'ont fait des écosystèmes les inconscientes guerres ?
En détruisant la terre, l'homme a hypothéqué la vie des êtres
Chers frères, s'il n'est pas encore tard, oublions nos couleurs
Donnons-nous la main pour de la terre apaiser les douleurs
Protégeons la biomasse, plantons des arbres et enterrons les immondices
Et si de quelques tours de magie nous sommes capables
Rebouchons la couche d'ozone, transformons nos fusées en sable
Car envers la postérité notre devoir est de rendre la terre sans vices.
Auteur : Augustin OGA
Elève en TD2 au CEG de Djassin
B.P. : 513 Porto-Novo (RB)
Poème : Protégeons la Terre
Nous avons lutté dans les usines
Telle l'abeille qui sans relâche butine
Pour la garantie de sa survie
Et quand de la lutte le feu s'est éteint,
Le corps a réclamé le répit et le pain
Mais trouver une ombre était devenu un défi.
Nos mains ont arraché tous les arbres
Par la machine nous avons rendu la Terre glabre
A la nature notre ingratitude a imprimé son signe
Par les engrais chimiques et le feu nous avons tué les sols
Et pour apaiser nos ventres le vide a rempli nos bols
De la nature nous n'avons pas été des héritiers dignes
La chaleur du soleil a tari nos gosiers
Et nous nous sommes dirigés vers la source aux pommiers
Mais l'eau n'y était plus propre à la consommation
Par nos mains la couche d'ozone a été polluée, usée
Car dans le cosmos l'homme a envoyé les fusées
D'ultraviolets nous avons reçu la sommation.
L'atmosphère n'est plus assez pure
Pour nous garantir une existence sure
Sans réfléchir pour nous couvrir nous avons pris
Du sable marin, nous avons pris de l'eau et du ciment
Et nous avons bâti nos abris inconsciemment et posément
Maintenant de notre inconscience nous devons payer le prix.
L'océan dans sa fureur réclame son dû
Pour l'arrêter la côte appauvrie n'a rien pu
Et voici que les tas d'immondices que nous avons sans réfléchir
Erigés à côté de notre habitat, nous menacent telle une bombe
De nos mains nous avons fossoyé nos propres tombes
Mais pour sauver la nature nous devons travailler sans gémir
Déjà du fond de nos remords infinis
Des okoumés géants broyés par la machine nous avons la nostalgie
Adieu les baobabs sacrés que nous ont légués nos ancêtres
Que sont devenues les biomasses sous l'effet des gaz à effet de serre
Qu'ont fait des écosystèmes les inconscientes guerres ?
En détruisant la terre, l'homme a hypothéqué la vie des êtres
Chers frères, s'il n'est pas encore tard, oublions nos couleurs
Donnons-nous la main pour de la terre apaiser les douleurs
Protégeons la biomasse, plantons des arbres et enterrons les immondices
Et si de quelques tours de magie nous sommes capables
Rebouchons la couche d'ozone, transformons nos fusées en sable
Car envers la postérité notre devoir est de rendre la terre sans vices.
Auteur : Augustin OGA
Elève en TD2 au CEG de Djassin
B.P. : 513 Porto-Novo (RB)
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